Le premier Lamont est arrivé en France au début du XVIIème siècle. Il se nommait Henry LAMONT OF NEW MILL (1562-1595). Générations après générations, les descendants français des Lamont se sont quelque peu éloignés de leurs racines. Depuis quelques années, Charles Lamant et sa femme Aurélie ont entrepris de faire revivre le Clan en France.
Leur souhait est avant tout de maintenir les liens entre la France et l’Ecosse, mais aussi d’aider à la conservation d’une histoire, d’un patrimoine qui leur est cher. C’est pourquoi ils ont décidé de dédier une partie de leur vie à ce travail de recherches historiques et de communication autour du clan Lamont.

Charles Lamant est natif de saint-Nazaire en Loire Atlantique. C’est son grand-père, Claude, qui initia des recherches généalogiques au début des années 90. Reprises par Charles après le décès de celui-ci, ce travail de recherches le mena ainsi jusqu’au cœur de l’Ecosse et du clan Lamont.
En 2012, Charles se rendit pour la première fois sur la terre de ses ancêtres, accompagné de sa femme Aurélie. Ils y rencontrèrent Mary Lamb, secrétaire et garante de la mémoire du clan, qui leur fit découvrir les terres du Clan et son histoire.
Charles demanda Aurélie en fiançailles sur les rives du Loch Lomond. Ils rentrèrent de ce voyage en sachant qu’un lien indéfectible venait de se créer avec l’Ecosse.
Depuis, Charles et Aurélie, ont à cœur de faire vivre le clan Lamont au travers d’évènements en France et en Europe et d’entretenir des liens fraternels avec les branches Européennes des différents clans.
En 2016, lors du rassemblement annuel du clan Lamont, Charles fut invité à devenir membre du conseil du clan. Il devint alors le représentant Français du clan Lamont.
En 2019, Charles fut nommé représentant pour l’Europe continentale.

Aujourd’hui la branche française du clan compte une dizaine de membres.
Certains de ces membres sont des descendants directs des Lamonts, d’autres sont des membres adoptés par le clan. En effet, le clan Lamont a renoué avec une tradition historique en rendant l’adoption de nouveau possible.
L’adoption telle qu’elle existait à l’époque médiévale fait échos aux différents traités de la Auld alliance. A notre époque, même s’il n’est plus question de combattre, épée à la main, aux côtés des Ecossais, l’adoption a gardé ce côté chevaleresque qui a pour but de rassembler autour du clan pour promouvoir sa culture, son histoire et cultiver la tradition d’accueil.